Fahrenheit 451
Ray Bradbury
Editions Folio
213 pages
451 degrés Fahrenheit représentent la température à laquelle un livre s'enflamme et se consume.
Dans cette société future où la lecture, source de questionnement et de réflexion, est considérée comme un acte antisocial, un corps spécial de pompiers est chargé de brûler tous les livres dont la détention est interdite pour le bien collectif. Montag, le pompier pyromane, se met pourtant à rêver d'un monde différent, qui ne bannirait pas la littérature et l'imaginaire au profit d'un bonheur immédiatement consommable.
Il devient dès lors un dangereux criminel, impitoyablement pourchassé par une société qui désavoue son passé.
Mon avis : Je n'irai pas jusqu'à dire que cetle lecture fut un calvaire mais en définitive je ne suis pas faite pour lire de la science fiction. A la limite je n'y comprends rien, je pense avoir été attentive jusqu'à la moitié du livre et après j'ai parfaitement décorché et lu les dernières pages en diagonale. Pourtant ce n'est pas faute d'essayer, là j'avais quand même l'impression de m'attaquer à un classique qui parlait des livres : Une valeur sure.
Une chose est sûre, c'est que dans ce livre de SF, je vois que le monde devient un vaste troupeau de moutons. L'automatisation est générale, je me demande si les habitants n'ont pas été opérés et si on ne leur a pas enlevé une bonne partie du cerveau. Ce genre de stéréotype me dérange énormément.
On retrouve toujours à peu prés le même cocktail : Le monde est devenu fou et les autorités ont fait beaucoup de changements : les personnages n'ont plus de sentiments, ce sont tous des robots.
Le coup de grace a été le limier .. je n'arrive pas a y croire c'est au dessus de mes forces.
Je n'aime pas non plus l'écriture, je l'a trouve vieillote (ce qui me semble normal vu l'année de la parution du livre) et je dois dire les personnages sont vraiment antipathiques au possible. Les femmes sont des cruches.
En conclusion, je pense arrêter de lire de la Science Fiction :) je n'y trouve vraiment pas mon compte.