La porte d'Orphée
Tim Kring
Michel Lafon
422 pages
Octobre 1963 : Un mois avant l'assassinat du président Kennedy.
Chandler Forrestal, jeune étudiant fauché, n'aurait jamais dû entrer dans ce bar. Il n'aurait jamais dû parler à cette belle brune, ni lui offrir un verre. Car la C.I.A l'a choisi comme cobaye d'une "expérience" destinée à tester les effets du LSD sur l'esprit humain. Chandler en ingère une dose massive et développe d'effrayants pouvoirs psychiques : hyper-vigilance, lecture dans les pensées, prise de contrôle du cerveau, ou capacité à provoquer des hallucinations...
Le jeune homme devient malgré lui une arme parfaite, convoité à la fois par des agents de la C.I.A et des tueurs de la mafia. Et ses fascinantes aptitudes risquent de le mener beaucoup plus loin qu'il ne l'imagine.
Jusqu'à changer le cours de l'histoire ?
Dans un premier temps, je tiens à remercier Les Editions Michel Lafon pour l'envoi de ce livre.
Mon avis : Cette lecture fut pour moi un calvaire et je me demande encore comment j'ai fait pour le terminer. Je dois quand même avouer que j'ai lu les dernières pages en diagonale. C'est avec une semaine de recul que j'essaye enfin de rédiger mon avis, mes impressions.
Pourtant au départ, l'histoire ne m'a pas semblé inintéressante mais je l'ai trouvée trop confuse, embrouillée. Le récit part dans tous les sens, on nous parachute des personnages en veux tu en voilà et j'ai eu bien du mal à savoir qui était qui et quel était son rôle dans le livre à part en rajouter pour compliquer un peu plus l'histoire.
FBI, CIA, KGB ... tout se mélange, en conclusion je n'ai pas compris grand chose.
Plusieurs histoires qui semblent s'imbriquer les unes aux autres : l'assassinat de Kennedy, les expériences sur le cerveau humain avec l'absorption de LSD, un trafic avec la Russie. Un méli mélo inexplicable. Un brin de science fiction vient en rajouter un peu au final c'était bien suffisant.
Je n'ai même pas pu m'attacher aux personnages que ce soit : Naz ou Chandler qui semblent subir cette histoire sans vraiment y prendre part ... j'en passe.
Comme vous pouvez le voir, je n'ai pas du tout aimé.