Ce que je sais de Vera Candida
Véronique Ovaldé
Editions de L'olivier
293 pages
Quelque part en Amérique du Sud, dans l’île de Vatapuna ou à Lahomeria, trois femmes d’une même lignée semblent prédestinées à connaître le même sort : mettre au monde une petite fille et être forcée de taire à jamais le nom du père. Elles se nomment Rose, Violette et Vera Candida. Ce sont des femmes éprises de liberté mais enclines à la mélancolie, des femmes téméraires mais sujettes aux fatalités propres à leur sexe. Chacune à sa manière se bat pour faire honneur à ce qu’elles sont : des mères affranchies, bien décidées à se choisir ellesmêmes leur destin.
Mon avis : j'ai pas grand chose à dire car je n'ai pas vraiment accroché et je n'en garderai pas un souvenir impérrisable. On suit le destin de 3 femmes sans mari et qui de mére en fille enfante dans la soliture et éléve leurs enfants sans hommes. Jusqu'au jour ou Vera Candida décide de conjurer de sort, le destin et quitte l'ile de Varapuna.
C'est un long monologue intérieur sans aucun dialogue. Un livre bien moyen pour moi.
7/10